Dassault Mirage F1
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Dassault Mirage F1 | ||
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Rôle | Avion de chasse | |
Equipage | ||
1 pilote | ||
Motorisation | ||
Moteur | un turboréacteur SNECMA Atar 9K-50 de 70 kN | |
Dimensions | ||
Envergure | 9,32 m | |
Longueur | 15,30 m | |
Hauteur | 4,50 m | |
Surface alaire | 25,00 m² | |
Masses | ||
À vide | 7 400 kg | |
Avec armement | 12 000 kg | |
Maximale | 16 200 kg | |
Performances | ||
Vitesse maximale | 2 570 km/h (Mach 2,1) | |
Plafond | 20 000 m | |
Vitesse ascensionnelle | 12 780 m/min | |
Distance franchissable | 2 100 km | |
Armement | ||
Interne | 2 canons DEFA de 30 mm | |
Externe | 6 300 kg d'armement maximum, 2 missiles air-air Matra R550 Magic II, 2 missiles Matra R.530, armement air-sol divers |
Sommaire |
[modifier] Conception
Le Dassault Mirage F1 est un appareil d'interception construit en France. Cet avion monoplace fut l'un des plus performants avions de ce type. Il vola pour la première fois en 1966 puis entra en service en 1973 (sur la Base aérienne 112 Reims-Champagne, au sein du prestigieux escadron de chasse 2/30 « Normandie-Niémen »). Il servit pour le développement du Mirage 2000.
Sept cent trente et un Mirage F1 ont été produits jusqu'en 1992. Ils ont été et sont utilisés dans les forces aériennes de dix pays :
En France, les derniers exemplaires – F.1CR des ER.1/33 et 2/33 de la Base aérienne 112 Reims-Champagne et F.1CT des EC.1/30 et 2/30 de la Base aérienne 132 Colmar-Meyenheim – devaient être retirés en 2012 mais pour des raisons budgétaires, il semble probable que leur retrait ait lieu en 2008.
[modifier] Engagements
L'armée de l'air française l'a engagé sur plusieurs théatres d'opérations du Tchad à l'actuelle guerre d'Afghanistan en passant la guerre du golfe de 1991 ou il fut un premier temps en retrait car l'Irak disposant des mémes appareils, on risquait le "tir ami".
Les appareils sud-africains furent utilisé dans des opérations en Angola de 1978 à 1988, pendant lequel deux MiG-21 angolais ont été abattus par UN F1CZ. Au moins un F1CZ a été abattu par un missile sol-air angolais ; il a été réparé en utilisant des parties d'un avion hors-service.
Il fut engagé en autre par l'Iraq au cours de la guerre Iran-Irak où il remporta plusieurs victoires aériennes notamment contre des F-14 de l'armée de l'air iranienne, il fut utilisé aussi dans des attaques antinavires où ses Exocet touchèrent plusieurs pétroliers et un navire de l'US Navy (officiellement, une erreur de tir).
Plusieurs Mirage F1 Irakiens furent abattu durant la deuxième guerre du golfe par la coalition
Certaines sources disent qu’entre 1977 et 1983 un Mirage F-1 marocain (près de Tindouf) aurait été abattu par des MiG-21 algériens.
[modifier] Versions et opérateurs
- le Mirage F1A, première version dotée d'une avionique simple destinée au combat diurne (version prévue pour Israël où les conditions météorologiques sont généralement favorables) :Libye.
- le Mirage F1B (B pour « biplace ») : France, Iraq, Jordanie, Libye, Espagne
- le Mirage F1C, monoplace d'interception, (retiré du service en France en 2002): France; Grèce, Jordanie, Koweït, Maroc, Espagne
- le Mirage F1CR (CR pour « chasseur reconnaissance »), appareils aujourd'hui stationnés sur la Base aérienne 112 Reims-Champagne de Reims.
- le Mirage F1CT (CT pour « chasseur tactique »), appareils stationnés sur la Base aérienne 132 Colmar-Meyenheim.
- le Mirage F1D (Biplace) : Espagne
- le Mirage F1E : Iran, Iraq, Jordanie, Libye, Maroc, Espagne
- le Mirage F1G : Équateur
[modifier] Autres caractéristiques
[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens externes
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