Destruction des Douze Colonies de Kobol
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Vous avez de La destruction des Douze Colonies de Kobol est un holocauste nucléaire fictif, point de départ des séries télévisés Galactica (1978-1980) et Battlestar Galactica (2003) (2003-****).
[modifier] Battlestar Galactica (2003)
Lorsque l'armistice mettant fin à la guerre entre les Cylons et leurs anciens maîtres humains des Douze Colonies de Kobol fut signé, 40 ans avant les événements de la série, une lointaine station spatiale fut construite. Étant destinée à maintenir des relations diplomatiques entre les deux civilisations, chaque année les Coloniaux envoyaient un émissaire, mais les Cylons n'envoyaient personne.
Au début du pilote de la série, un ambassadeur fut envoyé comme tout les ans depuis 40 ans. Mais cette année là, les Cylons se présentèrent à la station, et la détruisirent. Ce fut le début de la fin pour les Douze Colonies. La flotte de guerre cylon arriva bientôt dans le Système Solaire colonial, et commença à détruire la Flotte Coloniale et à anéantir méthodiquement avec l'arme nucléaire les métropoles coloniales. Grâce à l'aide involontaire du Dr Gaïus Baltar, une espionne humanoïde cylon, le modèle Numéro Six, avait put accéder au Serveur Principal de la Défense coloniale pour le pirater. De même, les vaisseaux de guerre humains, tel que les croiseurs Battlestars où les chasseurs Vipers Mk VII furent piratés, neutralisés puis détruit par les Cylons. De ce fait, les Humains ne purent opposer pratiquement aucune résistance, et en moins de 12 heures, 95% de l'Humanité avait été détruite, et la Flotte Coloniale n'existait plus.
Les Cylons envoyèrent sur chacune des 12 planètes des milliers de robots de combat de type Centurions, chargés d'exterminer les rares personnes encore en vie sur les planètes dévastées. Quelque 50 000 survivants, terrés dans différents vaisseaux, constituèrent une hétéroclite caravanne qui parvint à échapper aux Cylons, sous la protection de l'un des deux seuls Battlestars n'ayant pas été détruit (sur 120), le BSG-75 Galactica commandé par le commandant William Adama (l'autre, le BSG-62 Pegasus, s'étant enfuit de son côté).
[modifier] La Bataille de Ragnar
La flotte des survivants partit ensuite vers la planète de Ragnar Anchorage, où se trouvait un important dépôt de munition. En effet, le Galactica allait être désarmé et ne possédait donc que peu de munition. Ragnar avait un avantage : son atmosphère était brumeuse et constamment secoué de violentes tempêtes, ce qui permit à la flotte coloniale de se cacher. Cependant, la flotte cylon, composée de deux Basestars et de centaines de chasseurs Raiders, trouva la planète, et se posta en embuscade en orbite géostationnaire au-dessus de la station.
Un plan fut donc élaboré : le Galactica sortirai seul pour affronter les vaisseaux-mères cylon, tandis que pendant ce temps-là, la flotte civile s'enfuirait. Une fois que le dernier vaisseau civil aurait effectuer son saut PRL vers le point de rendez-vous, le Galactica s'enfuirait à son tour.
Le plan fut un succès, et la flotte des survivants put échapper à la souricière de Ragnar, après un dur combat entre le Galactica et une flotte cylon supérieure en nombre.
[modifier] Galactica (1978)
Après mille ans de guerre entre les Humains des Douze Colonies de Kobol et une race de robot extra-terrestre, les Cylons, un cessez-le-feu fut décrété. Une flotte de guerre fut envoyée pour escorter le Quorum des Douze et le Président Adar à la Conférence de Paix. Cependant, c'était un piège. Les Cylons détruisirent le gouvernement colonial et sa flotte de guerre, ce qui laissa les Douze Colonies sans défenses, face à des flottes de vaisseaux Basestar et des hordes de centurions. Les survivants humains purent s'enfuir dans des vaisseaux, sous la protection du Battlestar Galactica, et depuis lors, la flotte, menée par le Commandeur Adama, tente d'échapper aux Cylons.
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