Monique Richard

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Sommaire

1 Introduction
2 Engagement syndical
3 Engagement politique
4 Liens externes
5 Sources

[modifier] Introduction

Monique Richard Née en 1947 à Jonquière au Saguenay-Lac-Saint-Jean dans la province de Québec elle est connue comme syndicaliste et une souverainiste.

[modifier] Engagement syndical

Logo de la CSQ

Après son enfance à Jonquière et à Rimouski, elle s'installe à Longueuil et elle obtient son baccaauréat en éducation en 1969. Sa carrière d'enseignante est marquée par un engagement syndical intense d'abord comme déléguée de son école, puis comme membre du conseil d'admistration du Syndicat de l'enseignement de Champlain, ensuite comme première vice-présidente de la Centrale des syndicats du Québec(CEQ). En 1999 elle succède à Lorraine Pagé à la présidence de la centrale. Elle demeurera présidente jusqu'en 2003.

Lors de son mandat à la tête de la centrale, elle tentera d'impliquer davantage les membres dans les consultations en vue des négociations. Lors du congrès de 2000, elle met en avant une série de résolutions visant à favoriser la syndicalisation de nouvelles travailleuses et de nouveaux travailleurs, notamment dans le milieu des garderies et des centres de la petite enfance et des garderies en milieu famillial.

[modifier] Engagement politique

Par la suite elle s'engage dans la politique provinciale en millitant pour la souveraineté du Québec. Elle sera une membre fondatrice du club politique de gauche au sein du Parti québécois. Ce club nommé SPQ Libre, elle le fondera avec, notamment, l'ex-président de la CSN, Marc Laviolette et l'ex-vice président de la FTQ et député Robert Dean. Elle en sera la première présidente.

Au congrès du Parti québécois de mai 2005 elle est élue Présidente du conseil exécutif national à l'unanimité et succède à Marie Malavoy à la direction du parti. Elle quittera du fait même la présidence du SPQLibre mais demeurera conseillère au sein de ce mouvement. Elle restera neutre dans la course à la chefferie qui animera ce parti en 2005.