Phallogocentrisme
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Le phallogocentrisme est un terme réunissant les deux idées d'un primat accordé au logos et d'une centration sur la symbolique du phallus.
Sommaire |
[modifier] Origines
[modifier] Logocentrisme
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[modifier] Phallocentrisme
Le phallocentrisme ne décrit pas seulement des concepts de psychanalyse comme la castration, qui concernerait les deux sexes, l'envie du pénis chez la femme ou la compréhension du fétichisme sexuel comme déni de cette castration.
Car il s'agit également de remettre en cause l'idée d'une seule libido, masculine, idée qui provient de Sigmund Freud. Le désir peut porter à la soumission, mais en tant que recherchant activement cette soumission passive, il est actif. Et en tant qu'active, Freud décrie la libido comme masculine.
[modifier] Le phallogocentrisme selon Derrida
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[modifier] Évolutions du phallogocentrisme
Melanie Klein critique la notion d'une seule libido, masculine, ainsi que la compréhension du complexe d'Œdipe, laquelle opposait un avant le père à un après. Elle théorise une psyché archaique du nourrisson ; là où il y avait envie du pénis chez la femme, elle montre l'affect d'envie commun aux deux sexes.
En 1974, Luce Irigaray, psychanalyste et féministe, reprend le terme de phallogocentrisme et théorise un différencialisme de la sexualité féminine.
Aux E.U., le terme s'avérera très populaire auprès de nombre de féministes antifreudiennes.