Violence politique israélienne
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Cet article traite de la violence politique israélienne, c'est-à-dire de l'usage de la violence par l'armée ou le gouvernement israéliens dans le contexte politique de ce conflit.
Depuis 1947, dans le contexte des conflits israélo-palestinien et israélo-arabe, la région du Moyen-Orient a connu 7 conflits ou guerres d'envergure[1] entrecoupés de périodes de troubles ou de guerre froide [2] faisant près de 100 000 morts.
Sommaire |
[modifier] Violence militaire et policière
[modifier] Assassinats de civils
Plusieurs adolescents de la bande de Gaza ont été assassinés par des snipers israéliens. Selon le groupe israélien de défense des droit de l'Homme B'Tselem, ce sont 1 722 civils, dont le tiers de mineurs, qui ont été tués par l'armée israélienne depuis le début de la seconde intifada[3]. Les photos de Mohammed Dorah l'enfant palestinien tué entre les mains de son père (les 2 étaient désarmés) au début de la seconde Intifada ont fait le tour du monde.
[modifier] Les différentes guerres
[modifier] Bombardement au Sud-Liban et victimes civiles
Voir les articles détaillés : Liban Sud et Saïda
[modifier] Alliance avec les phalangistes et conséquences
Voir aussi : Massacre de Sabra et Chatila
[modifier] Ingérence militaire dans les autres pays
[modifier] Liban
[modifier] Irak
- Le réacteur Osirak
[modifier] Massacres de civils
- Qibiya en Jordanie, 14 octobre 1953, par l'unité 101 de l'armée israélienne
- Kafr Qassim, 29 octobre 1956, lors de l'opération Hafarferet
- Irbid, juin 1968
- As-Salt, aout 1968, Jordanie, utilisation de bombes au napalm sur le village.
- Bahr al-Baqar, village égyptien dont l'école fut bombardée par l'armée israélienne
- Al-Qunaytera, le 6 septembre 1975, Issac Rabin admis que l'armée était responsable de la destruction de cette ville syrienne.
- Abu Za'bal, 12 février 1970. Bombardement d'une usine.
[modifier] Sources
[modifier] Violence économique
[modifier] Problèmes des "checkpoints" israéliens
Les checkpoints sont parfois une gêne au déplacement, et contreviennent à la liberté de circuler : cela a aussi des conséquences économiques importantes d'augmentation de coûts de transports, et de problème d'organisation de des entreprises de la main d'oeuvre lorsque les personnes ne peuvent arriver sur leur lieu de travail.
[modifier] Embargo aérien et maritime
- présence d'une barrière maritime empêchant les navires de commerce.
[modifier] Destruction d'infrastructure de commerce
- destruction des infrastructures de Gaza
- destruction des infrastructures du Liban
[modifier] Destruction de cultures
[modifier] Expulsions et destructions de maisons
Pour réprimer les activistes palestiniens, le gouvernement israélien demande régulièrement à l'armée israélienne de détruire les maisons des familles de ses activistes. Ce sont alors des familles entières qui se retrouvent à la rue.
[modifier] Mur
La barrière de séparation, dont le but de la construction est, d'après Israël, de faire cesser les infiltrations de terroristes sur le territoire israelien, est dénoncée par les Palestinens comme une confiscation de leurs terres (cultivables, notamment), et comme une entrave au déplacement. Cependant, depuis la construction de cette barrière, il y a beaucoup moins d'attentats en Israël. [4]
[modifier] Références
- ↑ La guerre israélo-arabe de 1948; La crise de Suez; La Guerre des Six-Jours; la Guerre du Kippour; la guerre du Liban; la Première Intifada et la Seconde Intifada
- ↑ guerre des frontières de 1949 à 1955, violence politique palestinienne, guerre d'usure de 1967-68
- ↑ (en)Snipers with children in their sights Guardian Unlimited, 28 juin 2005
- ↑ Liste des attentats depuis 2000[1]